(Agence Ecofin) – Avec l’accélération de la pénétration du mobile et de l’Internet, la poste traditionnelle doit se renouveler. Pour continuer d’exister, le secteur se réinvente en prenant en compte les innovations technologiques telles que l’Internet, l’e-commerce…
Eliud Owalo, le nouveau ministre des TIC et de l’Economie numérique du Kenya, a déclaré avoir placé la redynamisation de la Postal Corporation of Kenya (PCK) parmi ses principales priorités. Cette initiative devrait permettre de repositionner la société dans un environnement commercial numérique compétitif et lui permettre de faire des profits.
« Cette société, qui était autrefois littéralement le joyau de la couronne du gouvernement, s’est assoupie devant les avancées technologiques des dernières décennies. Elle a été laissée en arrière dans la révolution critique qui est le moteur du nouvel ordre mondial », a expliqué M. Owalo.
Cette initiative du gouvernement kényan intervient alors que la poste traditionnelle s’avère de plus en plus dépassée dans un monde en pleine révolution numérique. C’est d’ailleurs dans ce cadre que les entreprises postales africaines, avec l’appui de l’Union panafricaine des postes (UPAP), se sont engagées dans un processus de numérisation qui s’est accéléré avec la transformation numérique. En 2019, l’UPAP a signé un accord avec la société Lleida.net pour coordonner 55 entreprises postales publiques du continent, stimuler l’innovation postale, et aider ces entreprises à offrir des services postaux numériques aux populations.
Pour réaliser son ambition de relancer la PCK, M. Owalo a identifié cinq « piliers transformationnels » sur lesquels seront principalement axées les interventions du gouvernement dans la société. Il s’agit de l’environnement politique et réglementaire ; la gestion financière ; l’organisation interne et la gouvernance ; les produits et services ainsi que la technologie et l’innovation.
Isaac K. Kassouwi
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by : Agence Ecofin
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