(Agence Ecofin) – La forte croissance de l’industrie africaine du private equity ces dernières années fait naître chez les acteurs du domaine des stratégies d’expansion et de fusion. Le sud-africain Catalyst Principal Partners et le kényan Metier Private Equity choisissent la seconde option.
Deux sociétés de private equity, le sud-africain Metier Private Equity et le kényan Catalyst Principal Partners, ont annoncé leur intention de fusionner leurs activités en vue de former un acteur plus fort dans le domaine.
Selon les termes de l’accord, Metier se chargera de la gestion des deux fonds d’investissement de son partenaire (Catalyst Fund I et Catalyst Fund II) dotés d’un total de 278 millions $ d’actifs sous gestion, et ce dernier quant à lui « continuera à fournir à Metier des capacités d’investissement et de gestion de portefeuille ».
« Il s’agit simplement de la prochaine phase de l’évolution du secteur », a commenté Paul Kavuma (photo), directeur général de Catalyst Principal Partners, au sujet de ce projet de fusion.
Etablie en 2009 en tant que gestionnaire de fonds de capital-investissement axée sur l’Afrique de l’Est, l’entreprise kényane totalise à ce jour, 11 investissements réalisés via ses deux fonds, dans des secteurs à fort potentiel. Metier qui opère dans le domaine du private equity, des actifs alternatifs et des services de conseil associés depuis 2004 comptabilise près de 100 investissements réalisés, via ses fonds d’investissement.
Selon les deux parties, cette fusion élargira la portée du sud-africain à d’autres régions en dehors de l’Afrique australe et à des entreprises de croissance évoluant dans divers secteurs d’activité. La finalisation de ce processus est soumise à l’obtention des approbations des actionnaires des deux firmes ainsi que des autorités réglementaires des pays dans lesquels ses sociétés sont implantées.
Dans un rapport publié en octobre 2021, l’Association africaine du capital-investissement et du capital-risque (AVCA) a indiqué que l’industrie africaine du private equity a connu une croissance significative ces dernières années. Entre 2014 et le premier semestre 2020, le continent a levé 19,2 milliards $. Le document indique par ailleurs que 1053 opérations ont été enregistrées en Afrique entre 2014 et 2019.
Chamberline Moko
window.fbAsyncInit = function() {
FB.init({version: ‘v2.3’,appId: ‘103459506425194’, status: false, cookie: true, xfbml: true});
FB.Event.subscribe(‘comment.create’, jfbc.social.facebook.comment.create);
FB.Event.subscribe(‘comment.remove’, jfbc.social.facebook.comment.remove);
FB.Event.subscribe(‘edge.create’, jfbc.social.facebook.like.create);
FB.Event.subscribe(‘edge.remove’, jfbc.social.facebook.like.remove);
};
(function(d, s, id){
var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0];
if (d.getElementById(id)) {return;}
js = d.createElement(s); js.id = id;
js.src = “https://connect.facebook.net/fr_FR/sdk.js”;
fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);
}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));
(function(d, s, id) {
var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0];
if (d.getElementById(id)) return;
js = d.createElement(s); js.id = id;
js.src = “//connect.facebook.net/en_GB/sdk.js#xfbml=1&version=v2.5&appId=103459506425194”;
fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);
}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));
by : Kelly Chamberline MOKO
Source link
