(Agence Ecofin) – L’augmentation du bénéfice avant impôt de la banque cotée sur le Nairobi Securities Exchange découle essentiellement de la hausse des revenus provenant des prêts accordés à la clientèle.
Standard Chartered Kenya a annoncé, ce mardi 12 mars 2024, que son bénéfice avant impôt a enregistré une augmentation de 15% en 2023 pour s’établir à 19,6 milliards de shillings (141 millions de dollars), grâce notamment à la hausse des revenus provenant des prêts accordés aux clients.
« StanChart Kenya a augmenté ses revenus nets d’intérêts de 32% durant l’année écoulée, ce qui a abouti à un bénéfice avant impôt de 19,6 milliards de shillings », a déclaré la directrice financière de la banque, Chemutai Murgor, lors d’une communication financière.
La filiale kényane du groupe bancaire britannique Standard Chartered Bank s’est également déclarée « optimiste » pour 2024, en raison des signes d’amélioration des fondamentaux économiques dans la première économie d’Afrique de l’Est et à l’étranger.
« Les perspectives s’améliorent grâce à des facteurs macroéconomiques », a déclaré le PDG de la banque cotée sur la Bourse de Nairobi, Kariuki Ngari, citant des « signaux encourageants » comme la stabilisation de la monnaie locale, le recul de l’inflation, la réouverture des marchés internationaux de la dette aux pays africains et le début attendu de l’assouplissement monétaire aux Etats-Unis.
Le shilling kényan s’est apprécié de près de 13 % depuis le début de l’année en cours, après s’être fortement affaibli durant l’année écoulée, ce qui laisse présager une réduction de la facture des importations des produits alimentaires et énergétiques.
« Les perspectives ne sont pas cependant toutes roses, car les attaques contre les navires en mer Rouge ont commencé à perturber le commerce international, les clients se plaignant de retards dans la livraison de leurs marchandises et d’une augmentation des coûts des contrats d’assurance », a souligné M. Ngari.
Lire aussi:
window.fbAsyncInit = function() {
FB.init({version: ‘v2.3’,appId: ‘103459506425194’, status: false, cookie: true, xfbml: true});
FB.Event.subscribe(‘comment.create’, jfbc.social.facebook.comment.create);
FB.Event.subscribe(‘comment.remove’, jfbc.social.facebook.comment.remove);
FB.Event.subscribe(‘edge.create’, jfbc.social.facebook.like.create);
FB.Event.subscribe(‘edge.remove’, jfbc.social.facebook.like.remove);
};
(function(d, s, id){
var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0];
if (d.getElementById(id)) {return;}
js = d.createElement(s); js.id = id;
js.src = “https://connect.facebook.net/fr_FR/sdk.js”;
fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);
}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));
(function(d, s, id) {
var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0];
if (d.getElementById(id)) return;
js = d.createElement(s); js.id = id;
js.src = “//connect.facebook.net/en_GB/sdk.js#xfbml=1&version=v2.5&appId=103459506425194”;
fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);
}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));
by : Agence Ecofin
Source link
