(Agence Ecofin) – 6 mois après un premier closing, P1 Ventures a attiré la SFI en tant que premier investisseur institutionnel public, lors d’un nouveau closing. Le véhicule réalisera des prises de participation notamment dans des entreprises africaines alimentées par l’IA.
La firme américaine de capital-risque, P1 Ventures, a annoncé ce mercredi 20 mars 2024, le deuxième closing à 35 millions $, de son second fonds d’investissement. Dans le cadre de cette levée de fonds, la Société financière internationale (SFI) a rejoint son actionnariat en qualité d’investisseur institutionnel public.
Le montant levé sera engagé dans des entreprises technologiques africaines. P1 Ventures réalisera de nouvelles prises de participation ainsi que des investissements de suivi « dans des secteurs où l’Afrique dispose d’un vaste potentiel inexploité et d’un fort avantage économique tels que les technologies financières et celles basées sur l’IA », souligne la firme de capital-risque.
Elle soutiendra des entrepreneurs qui utilisent des technologies émergentes, comme l’IA générative, pour révolutionner les secteurs traditionnels de la santé, de la vente au détail et de l’agriculture. P1 Ventures donnera la priorité aux entrepreneurs expérimentés qui disposent de produits validés, de modèles commerciaux éprouvés, capables d’évoluer de manière efficace et qui ont rapidement séduit des clients.
« Notre investissement dans P1 Ventures vise à accroître la compétitivité et l’efficacité des marchés traditionnels dans des secteurs clés, afin de stimuler une croissance économique inclusive à travers le continent », a indiqué Olivier Buyoya, directeur régional de la SFI pour l’Afrique de l’Ouest. Et d’ajouter : « il contribuera à renforcer les écosystèmes de capital-risque en Afrique, en particulier sur les marchés d’Afrique francophone mal desservis par le capital-risque mondial ».
Pour rappel, P1 Ventures a finalisé en septembre 2023, la première clôture de son second fonds à 25 millions $.
Chamberline Moko
window.fbAsyncInit = function() {
FB.init({version: ‘v2.3’,appId: ‘103459506425194’, status: false, cookie: true, xfbml: true});
FB.Event.subscribe(‘comment.create’, jfbc.social.facebook.comment.create);
FB.Event.subscribe(‘comment.remove’, jfbc.social.facebook.comment.remove);
FB.Event.subscribe(‘edge.create’, jfbc.social.facebook.like.create);
FB.Event.subscribe(‘edge.remove’, jfbc.social.facebook.like.remove);
};
(function(d, s, id){
var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0];
if (d.getElementById(id)) {return;}
js = d.createElement(s); js.id = id;
js.src = “https://connect.facebook.net/fr_FR/sdk.js”;
fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);
}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));
(function(d, s, id) {
var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0];
if (d.getElementById(id)) return;
js = d.createElement(s); js.id = id;
js.src = “//connect.facebook.net/en_GB/sdk.js#xfbml=1&version=v2.5&appId=103459506425194”;
fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);
}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));
by : Kelly Chamberline MOKO
Source link
