(Agence Ecofin) – Les opérateurs télécoms nigérians sont souvent confrontés à des actes de vandalisme sur leurs infrastructures. Le régulateur prend des mesures pour protéger ces infrastructures indispensables pour des services télécoms de qualité.
Selon la Nigerian Communications Commission (NCC), le Nigeria a subi plus de 50 000 cas de destruction majeure d’infrastructures et d’installations de télécommunications au cours des cinq dernières années. Il s’agit notamment des coupures de fibre, du vol d’équipement tels que les générateurs sur les sites télécoms, le vandalisme des stations de base, etc. Ces incidents impactent négativement la qualité des services fournis aux consommateurs.
« L’impact du vandalisme de l’infrastructure est ressenti par tous dans la qualité des services rendus, car il se traduit par une augmentation des appels perdus, des interruptions de la connectivité des données et de l’Internet, des services de messagerie courte (SMS) interrompus et non livrés, ainsi que d’innombrables appels ratés », a expliqué Umar Danbatta (photo), vice-président exécutif de la NCC.
Le vandalisme des infrastructures de télécommunications constitue un fardeau majeur pour les fournisseurs de services, qui sont obligés d’investir beaucoup plus d’argent dans la maintenance, la réparation et le remplacement des infrastructures endommagées. Ce qui augmente leurs coûts d’exploitation, et parfois les tarifs de leurs services. Un projet de loi sur les infrastructures nationales critiques est en attente d’adoption à l’Assemblée nationale.
Pour lutter contre ce fléau, la NCC invite les populations à signaler les cas de vandalisme des infrastructures de télécommunications à la police et aux autres organismes d’application de la loi. « Nous pensons qu’avec votre coopération en tant que parties prenantes essentielles du secteur des télécommunications, nous pouvons tous travailler avec les autorités chargées de l’application de la loi pour protéger les infrastructures de télécommunications dans votre communauté », a déclaré M. Danbatta.
Isaac K. Kassouwi
window.fbAsyncInit = function() {
FB.init({version: ‘v2.3’,appId: ‘103459506425194’, status: false, cookie: true, xfbml: true});
FB.Event.subscribe(‘comment.create’, jfbc.social.facebook.comment.create);
FB.Event.subscribe(‘comment.remove’, jfbc.social.facebook.comment.remove);
FB.Event.subscribe(‘edge.create’, jfbc.social.facebook.like.create);
FB.Event.subscribe(‘edge.remove’, jfbc.social.facebook.like.remove);
};
(function(d, s, id){
var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0];
if (d.getElementById(id)) {return;}
js = d.createElement(s); js.id = id;
js.src = “https://connect.facebook.net/fr_FR/sdk.js”;
fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);
}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));
(function(d, s, id) {
var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0];
if (d.getElementById(id)) return;
js = d.createElement(s); js.id = id;
js.src = “//connect.facebook.net/en_GB/sdk.js#xfbml=1&version=v2.5&appId=103459506425194”;
fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);
}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));
by : Agence Ecofin
Source link