
(Agence Ecofin) – Multitel est l’une des nombreuses entités publiques visées par le vaste plan de privatisation engagé par l’Etat depuis 2018. De nombreux investisseurs ont déjà exprimé leurs intentions.
L’Institut de gestion des actifs et des participations de l’Etat (IGAPE) a annoncé, vendredi 11 mars, la prolongation du délai de soumission des candidatures à l’appel d’offres public pour la privatisation de 90 % du capital du fournisseur d’accès Internet aux entreprises Multitel Serviços de Telecomunicações. L’échéance fixée initialement au 11 mars a été reportée au 1er avril.
Ce report de date résulte de la volonté de l’IGAPE de garantir le succès de cette opération de vente d’actions. Plusieurs entités intéressées par la privatisation ont exprimé des difficultés à y prendre part au regard du temps imparti depuis décembre 2021 pour préparer leur dossier selon les conditions requises.
Le 20 juillet, le président de la République d’Angola, João Lourenço (photo) autorisait la privatisation par appel d’offres public de 90 % du capital de la société Multitel à travers l’arrêté présidentiel n° 113/21. Ce dernier a abrogé l’arrêté n° 185/20 du 21 décembre 2020 qui prévoyait la privatisation de Multitel par le biais d’une offre publique initiale (IPO) sur la Bourse de la dette et des valeurs d’Angola (Bodiva), la société ne remplissant pas les conditions nécessaires à cet effet.
La privatisation de Multitel s’inscrit dans le cadre du programme national de développement (PDN 2018-2022). Il prévoit la cession de participations dans le capital de 195 sociétés publiques, notamment télécoms. Lors du lancement du PND en 2018, João Lourenço affirmait déjà que l’argent issu de la vente de Multitel et de plusieurs autres actions d’entreprises publiques contribuerait à « promouvoir la stabilité macroéconomique, augmenter la productivité de l’économie nationale et parvenir à une répartition plus équitable du revenu national ».
Isaac K. Kassouwi
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by : Agence Ecofin
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