
(Agence Ecofin) – Cinq mois après la mobilisation d’un financement de série A, Kuda obtient des ressources supplémentaires d’anciens investisseurs. La Banque accessible via des applications mobiles entrevoit d’étendre ses activités au-delà du Nigeria.
La banque entièrement numérique Kuda, domiciliée au Nigeria et à Londres a procédé à la levée d’un financement de série B, d’un montant de 55 millions $.
Revendiquant à ce jour 1,4 million d’utilisateurs, la structure prévoit de mettre sur pied une solide équipe avec laquelle elle poursuivra son expansion sur le continent africain. Accessible uniquement via des applications sur téléphone et sur ordinateur, elle a obtenu ce nouvel investissement d’anciens actionnaires et investisseurs providentiels.
« Nous avons déployé assez de ressources dans notre entité opérationnelle au Nigeria. Maintenant, nous ambitionnons de constituer une équipe solide pour les plans d’expansion de Kuda. Nous considérons toujours le Nigeria comme un marché important […] C’est un marché fort et compétitif. Ce financement sert donc à investir dans notre expansion et à avoir plus d’expérience », a commenté Babs Ogundeyi, cofondateur et directeur général de Kuda.
Cette levée de fonds survient cinq mois après la mobilisation d’un financement de série A de 25 millions $ qui a servi à déployer des services bancaires numériques au Nigeria. Kuda qui a débuté ses activités comme une fintech avant de muter en 2019 en banque digitale comptabilise à ce jour près de 90 millions $ de fonds levés.
Elle est soutenue par le capital-risqueur américain Valar Ventures, la firme Target Global ou encore SBI Investments.
Chamberline Moko
Lire aussi:
window.fbAsyncInit = function() {
FB.init({version: ‘v2.3’,appId: ‘103459506425194’, status: false, cookie: true, xfbml: true});
FB.Event.subscribe(‘comment.create’, jfbc.social.facebook.comment.create);
FB.Event.subscribe(‘comment.remove’, jfbc.social.facebook.comment.remove);
FB.Event.subscribe(‘edge.create’, jfbc.social.facebook.like.create);
FB.Event.subscribe(‘edge.remove’, jfbc.social.facebook.like.remove);
};
(function(d, s, id){
var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0];
if (d.getElementById(id)) {return;}
js = d.createElement(s); js.id = id;
js.src = “https://connect.facebook.net/fr_FR/sdk.js”;
fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);
}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));
(function(d, s, id) {
var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0];
if (d.getElementById(id)) return;
js = d.createElement(s); js.id = id;
js.src = “//connect.facebook.net/en_GB/sdk.js#xfbml=1&version=v2.5&appId=103459506425194”;
fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);
}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));
by : Kelly Chamberline MOKO
Source link