
(Agence Ecofin) – Après la réalisation en mars dernier de son premier investissement dans le secteur de l’irrigation au Maroc, Amethis Mena Fund II annonce son premier closing réalisé avec le concours de plusieurs investisseurs internationaux.
Amethis a réalisé à 101 millions $, la première clôture de son véhicule Amethis Mena Fund II, centré sur des PME en croissance en Afrique du Nord et au Moyen-Orient. Le fonds a réuni des investisseurs privés ainsi que plusieurs institutions financières de développement dans le cadre de cette opération.
Le deuxième fonds maghrébin d’Amethis prépare plusieurs opérations d’investissement au cours des prochains mois. Il ciblera des entrepreneurs et PME principalement au Maroc, en Egypte, en Tunisie et en Jordanie avec des investissements allant de 5 à 15 millions d’euros.
« Amethis Mena Fund II apporte une vraie solution et un ADN profondément entrepreneurial au développement des PME ainsi qu’une réponse aux problématiques de succession que rencontrent des dirigeants », a indiqué Wilfried Poyet qui dirige l’équipe mise sur pied pour encadrer ce fonds récemment lancé.
Ce premier closing d’Amethis Mena Fund II intervient cinq mois après son premier engagement dans une entreprise de micro-irrigation et pompage solaire au Maroc. Le fonds qui vise un montant total de 120 millions d’euros, a annoncé pour juillet 2022, son closing final avec la participation de plusieurs investisseurs.
Rappelons qu’Amethis Mena Fund II est le cinquième fonds d’Amethis. Ce véhicule cible une région avec « un potentiel de développement certain » et espère aider ses partenaires et investisseurs à tirer profit « des leviers de croissance identifiés » dans cette zone.
Chamberline Moko
Lire aussi:
window.fbAsyncInit = function() {
FB.init({version: ‘v2.3’,appId: ‘103459506425194’, status: false, cookie: true, xfbml: true});
FB.Event.subscribe(‘comment.create’, jfbc.social.facebook.comment.create);
FB.Event.subscribe(‘comment.remove’, jfbc.social.facebook.comment.remove);
FB.Event.subscribe(‘edge.create’, jfbc.social.facebook.like.create);
FB.Event.subscribe(‘edge.remove’, jfbc.social.facebook.like.remove);
};
(function(d, s, id){
var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0];
if (d.getElementById(id)) {return;}
js = d.createElement(s); js.id = id;
js.src = “https://connect.facebook.net/fr_FR/sdk.js”;
fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);
}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));
(function(d, s, id) {
var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0];
if (d.getElementById(id)) return;
js = d.createElement(s); js.id = id;
js.src = “//connect.facebook.net/en_GB/sdk.js#xfbml=1&version=v2.5&appId=103459506425194”;
fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);
}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));
by : Kelly Chamberline MOKO
Source link