(Agence Ecofin) – Le retour à la croissance n’est toujours pas au rendez-vous chez Cell C. Mais l’entreprise a toutefois réussi à réduire ses dépenses et ses pertes financières grâce au plan de restructuration initié depuis 2016. Elle cherche de nouveaux fonds pour faire évoluer ses ambitions de transformation.
L’opérateur de téléphonie mobile Cell C, détenu à 45% par Blue Label Telecoms Ltd depuis 2016, est en pourparlers avancés avec Rand Merchant Bank (RMB) et Investec Ltd pour un prêt d’environ 4 milliards de rands (280 millions USD). Des sources proches du dossier l’ont confié à Bloomberg. Elles ont indiqué que les discussions étaient à un stade sensible et que des détails seront dévoilés une fois l’accord finalisé.
Dans son rapport financier 2020, Cell C exprimait son désir de boucler un nouveau prêt cette année pour financer sa recapitalisation. Interrogé sur les échanges en cours, le représentant de RMB a juste confirmé que des pourparlers se tiennent bel et bien avec Cell C et ses actionnaires. Investec Ltd pour sa part a insisté sur le fait que « la confidentialité des clients nous empêche de partager des détails ».
Le prêt que négocie Cell C viendra apporter davantage de dynamisme financier à la société télécoms qui s’est réjouie de ses performances qui traduisent une stabilisation de l’entreprise. L’opérateur de télécommunications, qui a fait défaut sur le paiement des intérêts d’un prêt de 184 millions USD, a aussi enregistré un chiffre d’affaires de 13,8 milliards de rands en baisse de 8% par rapport à 2019. La perte nette a reculé. Elle est passée de 7,6 milliards de rands au premier semestre 2020 à 5,5 milliards de rands à la fin de l’année.
Selon Douglas Craigie Stevenson, PDG de Cell C, les investisseurs attendent avec impatience « l’accord de recapitalisation proposé qui fournira un fonds de roulement destiné à stimuler la croissance des revenus et la rentabilité ».
Muriel Edjo
Lire aussi:
window.fbAsyncInit = function() {
FB.init({version: ‘v2.3’,appId: ‘103459506425194’, status: false, cookie: true, xfbml: true});
FB.Event.subscribe(‘comment.create’, jfbc.social.facebook.comment.create);
FB.Event.subscribe(‘comment.remove’, jfbc.social.facebook.comment.remove);
FB.Event.subscribe(‘edge.create’, jfbc.social.facebook.like.create);
FB.Event.subscribe(‘edge.remove’, jfbc.social.facebook.like.remove);
};
(function(d, s, id){
var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0];
if (d.getElementById(id)) {return;}
js = d.createElement(s); js.id = id;
js.src = “https://connect.facebook.net/fr_FR/sdk.js”;
fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);
}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));
(function(d, s, id) {
var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0];
if (d.getElementById(id)) return;
js = d.createElement(s); js.id = id;
js.src = “//connect.facebook.net/en_GB/sdk.js#xfbml=1&version=v2.5&appId=103459506425194”;
fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);
}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));
by : Muriel EDJO
Source link