
(Agence Ecofin) – Après l’obtention en juillet 2020, d’une première tranche d’un financement de série A, de 3,5 millions $, la fintech Paymob a mobilisé un supplément de 15 millions $. Il s’agit de la plus grande opération de série A jamais réalisée par une fintech égyptienne.
L’égyptien Paymob qui propose aux entreprises et marchands, une passerelle de solutions de paiement numérique, a obtenu dans le cadre de la deuxième tranche d’un financement de série A, le montant de 15 millions $.
L’opération a été menée par la société dubaïote de capital-risque Global Ventures, et a connu la participation du fonds d’investissement égyptien A15 et de la banque néerlandaise de financement du développement FMO.
« Nous ne pourrions pas être plus enthousiasmés par la prochaine phase de croissance de Paymob. L’opportunité de marché dans la région est sans précédent. Le grand écart des paiements numériques existe toujours, et nous sommes ravis de travailler pour y remédier […] Cette dernière augmentation de capital va accélérer nos progrès pour réduire le goulot d’étranglement des paiements numériques », a commenté Islam Shawky, qui a cofondé en 2015 la plateforme Paymob avec deux autres associés.
En juillet 2029, le fournisseur égyptien de services de paiements numériques avait obtenu la première tranche de 3,5 millions $ de ce financement de série A. Cette deuxième tranche porte à 18,5 millions $ le montant global obtenu. De l’avis de plusieurs médias égyptiens, il s’agit de « la plus grande opération de série A jamais réalisée par une fintech égyptienne ».
La fintech qui dessert également le Kenya, le Pakistan et la Palestine prévoit de poursuivre son expansion en Arabie saoudite. Paymob qui revendique plus de 35 000 marchands locaux et étrangers sur sa plateforme, entrevoit de renforcer davantage son réseau, mais aussi ses solutions de paiement.
Pour l’année 2020, Paymob a multiplié par cinq les revenus issus de son activité de paiement.
Chamberline Moko
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by : Agence Ecofin
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