
(Agence Ecofin) – Le changement climatique affecte la fréquence et l’intensité des événements climatiques extrêmes, avec des répercussions sur l’activité économique et sur les populations. Un choc qui n’épargne pas les organismes d’assurance.
Les désastres ont infligé en 2020 une perte de 89 milliards $ aux assureurs au plan mondial, révèle une étude réalisée par le réassureur Swiss Re. Il s’agit de la cinquième année la plus lourde en termes de pertes pour les institutions au cours des cinq dernières décennies.
Ces pertes sont également plus élevées que la moyenne enregistrée pour la dernière décennie qui s’établissait à 79 milliards $. En 2020, le total des pertes économiques dues aux catastrophes naturelles, et aux activités humaines a atteint 202 milliards $ contre 150 milliards $ en 2019.
Une flopée de catastrophes a frappé les assureurs et leurs clients au cours de l’année écoulée. Les pertes assurées sur les événements extrêmes de moindre ampleur, mais plus fréquents ont augmenté au cours des cinquante dernières années, en grande partie en raison du changement climatique, selon le rapport.
En outre, plus de 70 % des pertes assurées en 2020 étaient dues à des pertes secondaires ou à des catastrophes naturelles telles que les chutes de neige prolongées, la sécheresse et les inondations qui ont accru les pertes secondaires.
. @SwissRe accélère sa sortie du #charbon à travers une nouvelle liste d’objectifs environnementaux qui englobent aussi bien les contrats d’assurance que ses placements financiers.#énergie #Suisse
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— Monde de L’Énergie (@lemondelenergie) March 16, 2021
« Le secteur a été épargné l’année dernière des pertes majeures, car la plupart des catastrophes naturelles n’ont pas touché des zones densément peuplées. C’était une question de chance. Il n’y a aucune raison pour que les futures catastrophes ne touchent pas des zones de richesse économique », prévient Swiss Re dans son étude.
Gwladys Johnson Akinocho
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by : Gwladys Johnson Akinocho
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