
(Agence Ecofin) – En période de covid-19 et six ans après son lancement, la société de technologie financière Diool attire de nouveaux investisseurs dans son actionnariat, avec en projet, le renforcement de ses opérations dans son unique marché, le Cameroun.
Diool, une fintech camerounaise qui facilite les transactions financières (dépôt et retrait d’argent), et propose des services de revente de produits de consommation, et le règlement de factures a levé 3,5 millions $ pour renforcer ses activités au Cameroun.
L’opération a été dirigée par la holding diversifiée Lundin Group et a connu la participation d’actionnaires déjà présents dans le tour de table de cet agrégateur de services financiers.
« Notre prochaine étape est de développer l’équipe et le produit à l’échelle du Cameroun avant d’entrer dans d’autres pays », a déclaré Serge Boupda qui a co-fondé Diool en 2015, avec son frère Phillipe Boupda.
Cette fintech qui met à la disposition des entreprises des fonctionnalités pour gérer, fluidifier et sécuriser leurs transactions via différents opérateurs de mobile money, affirme avoir enregistré sur sa plateforme plus de 2000 commerçants qui ont effectué des transactions de plus de 120 millions $.
Cette levée de fonds opérée par une fintech camerounaise, en contexte de covid-19, est un signe positif pour l’écosystème entrepreneurial du pays. Toutefois, la tech camerounaise n’est pas suffisamment dynamique en ce qui concerne les levées de fonds réalisées et les deals conclus en Afrique noire francophone.
Le Sénégal et la Côte d’Ivoire sont mieux classés, si l’on se réfère aux rapports sur les levées de fonds en Afrique, publiés par des sociétés de capital-risque telles que Partech Partners.
Chamberline Moko
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by : Kelly Chamberline MOKO
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