(Agence Ecofin) – Poursuivant avec sa stratégie de développement centrée sur la clientèle et mise sur pied il y a quatre ans, Absa Bank Kenya s’est engagée à consacrer en 2022 une part considérable de ses investissements à la digitalisation de son activité et l’amélioration de son expérience client.
Absa Bank Kenya Plc, la filiale locale du groupe bancaire sud-africain Absa Group, envisage d’investir 1,6 milliard de shillings kényans (14,6 millions $) pour améliorer ses produits et solutions numériques en 2022.
« L’année prochaine, nous déploierons plus de 60 projets technologiques visant à transformer notre expérience client. Certains d’entre eux incluent l’automatisation de notre processus de prêt […] Nous allons également déployer une plateforme de banque d’affaires en ligne à part entière, parmi d’autres innovations dans nos segments d’activités », a commenté Jeremy Awori (photo), directeur général d’Absa Bank Kenya.
Cette initiative s’inscrit dans le cadre d’une stratégie mise en place il y a près de quatre ans par la Banque commerciale kényane et consistant à placer le client au centre de l’entreprise. Absa Bank Kenya s’est intéressée aux besoins et attentes de sa clientèle dans l’optique de mieux la satisfaire.
L’investissement annoncé dans le numérique est soutenu par la volonté de digitalisation de la Banque, elle-même accentuée depuis l’arrivée de la covid-19 et son lot de mesures restrictives.
Absa Bank Kenya qui a fait le choix d’opérer dans cet environnement « incertain et ambigu » a entrepris de s’adapter rapidement aux réalités changeantes pour se maintenir dans le secteur et conserver sa clientèle.
Chamberline Moko
window.fbAsyncInit = function() {
FB.init({version: ‘v2.3’,appId: ‘103459506425194’, status: false, cookie: true, xfbml: true});
FB.Event.subscribe(‘comment.create’, jfbc.social.facebook.comment.create);
FB.Event.subscribe(‘comment.remove’, jfbc.social.facebook.comment.remove);
FB.Event.subscribe(‘edge.create’, jfbc.social.facebook.like.create);
FB.Event.subscribe(‘edge.remove’, jfbc.social.facebook.like.remove);
};
(function(d, s, id){
var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0];
if (d.getElementById(id)) {return;}
js = d.createElement(s); js.id = id;
js.src = “https://connect.facebook.net/fr_FR/sdk.js”;
fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);
}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));
(function(d, s, id) {
var js, fjs = d.getElementsByTagName(s)[0];
if (d.getElementById(id)) return;
js = d.createElement(s); js.id = id;
js.src = “https://connect.facebook.net/en_GB/sdk.js#xfbml=1&version=v2.5&appId=103459506425194”;
fjs.parentNode.insertBefore(js, fjs);
}(document, ‘script’, ‘facebook-jssdk’));
by : Kelly Chamberline MOKO
Source link
